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du samedi 9 juillet au dimanche 28 août 2022

Paul Vergier

Aussichtslos 

Le paysage romantique est celui qui vient après le paysage. C'est sous cet angle que Pierre Wat, historien de l'art, évoque un des aspect du romantisme. Si celui-ci correspond à une période bien définie de l'histoire, il n'en est pas moins toujours actif dans notre période contemporaine à travers de multiples approches.
Cette exposition est l'occasion pour Paul Vergier de rendre compte de l'importance du sentiment romantique dans son travail. Chaque motif qu’il aborde, chaque médium qu’il utilise évoque de façon stratigraphique les thèmes sous-jacents de ce sentiment : La ruine, l'image désolée, les traces, l'enfouissement, le recouvrement, la sédimentation...qui évoquent tous, de manière plus ou moins métaphoriques les problématiques liées au travail de représentation.
Cette exposition est, selon l’artiste, l'occasion pour chacun d'éprouver le sentiment de la catastrophe, de s'interroger sur le pouvoir consolateur de l'art, mais aussi d'alerter sur les risques de l'esthétisation du désastre, la patrimonialisation de la catastrophe.

photos vergier site

atelier d'écriture, "écrire sur une oeuvre", proposé par Anne-Marie Liautard (bibliothèque intercommunale de la Vence) 

Il sont 6 à avoir répondu à la proposition d'Anne-Marie. Ils se sont retrouvés le vendredi 12 août pour une séance d'écriture sous la conduite d'Anne-Marie Liautard. Les textes seront lus publiquement lors du finissage,le dimanche 28 août à 17 h en présence de l'artiste

écrire sur une oeuvre

Dimanche 28 août, à l'occasion du finissage, lecture publique des textes inspirés par les oeuvres de Paul Vergier (en bas de l'article, retrouvez les textes dans leur intégralité).

finissage et atelier écriture

La soirée se termine en toute convivialité à La Pause, place Lucien Duc où les échanges se poursuivent un long moment.

Retrouvez les six textes en cliquant sur le nom de l'auteur

Nathalie Delmotte
Virginie Jardin
Michel-Jean Laveaud
Anne-Marie Liautard
Catherine Molin
Alain Sardaillon

du 28 mai au 3 juillet 2022

du vendredi au dimanche de 15h à 19h et sur rendez-vous lundi et jeudi

Emmanuelle Roule (designer et céramiste)et Julien Benayoun (designer Studo BOLD design)

"Il n'y a de terre qui ne se mange"

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Il n’y a de terre qui ne se mange est une exposition sensorielle, évolutive et fragmentée qui, au travers de sélections d’échantillons, de prototypes, pièces, vidéos, photographies, donne à voir et comprendre les étapes de création et d’expérimentation, à la croisée de plusieurs paramètres : un matériau, la terre ; un territoire, la Drôme ; des savoir-faire, la main, des outils, l’impression 3D, le tour… Et un projet de recherche : Patrimoine vivant.

Cette exposition est pensée comme un point d’étape dans le travail de création et d’expérimentation mené au sein du 8Fablab à Crest, conjointement par Emmanuelle Roule, designer, artiste, céramiste et Julien Benayoun, cofondateur de Bold design. Cette exposition a vocation à donner lecture et mettre en partage des réflexions, des intentions, leurs développements, leurs évolutions et leurs matérialisations en formes et en objets.

Il n’y a de terre qui ne se mange est une exposition dont le point de départ est le matériau : la terre, croisant celui de la Terre. Depuis l’épicentre du 8Fablab, le projet s’est déployé depuis août 2020, autour de rencontres avec les acteurs de la céramique sur le territoire drômois ; certaines ont donné lieu à des collaborations notamment avec la Fabrique de Cliousclat.

Cette exposition prend forme autour de ce maillage et cette constellation territoriale, avec comme fil conducteur, des questions centrales sur la provenance de la terre, sa transformation, ses destinations et ses usages. L’argile est le matériau le plus ancien avec le bois, il dispose depuis quelques années de potentiels champs de développement majeurs, liant perpétuellement l’ancestral à l’innovation et la recherche.

Cette résidence et cette exposition s’inscrivent dans cette temporalité avec la volonté de participer à ouvrir le champ des possibles de ce matériau selon des enjeux sociétaux et environnementaux qui ne peuvent être dissociés aujourd’hui des processus de création et de diffusion.
Cette restitution de résidence est pensée comme un éloge à la terre. Un éloge à ceux qui nous ont précédé et ceux avec lesquels nous échangeons et continuons d’apprendre dans le but de développements futurs en s’inscrivant dans cette histoire du temps et des savoir-faire en pays drômois.

Il n’y a de terre qui ne se mange invite à porter un regard et une réflexion commune sur la noblesse et l’humilité du sol et les enjeux environnementaux qui lui sont liés.

Site terres imprimées
©Emmanuelle Roule

Evénement associé le 17 juin 2022, à 18h : table ronde, à la Salle (rue Honorius Valentin)

Cette table ronde a vocation à échanger sur ce qui ce qui se manifeste, se joue sous nos pieds.
Pour mieux regarder, comprendre ce qu’est la terre, elle-même connectée à la Terre. Au-delà d’un simple jeu d’homonymie, les deux sont intimement interdépendants, cela de manière ancestrale et désignent un système terre global directement liés aux enjeux environnementaux et sociétaux actuels et à venir. La terre étant simultanément un matériau qui nourrit et un matériau qui bâtit, elle réunit deux éléments vitaux et indispensables pour l’espèce humaine.
Les échanges poseront la question du sol, au regard des pratiques croisées du design, de l’agronomie et de la géologie.

Modération par Dominique Liautard, Maison de la Tour

Intervenants (liste en cours de constitution)
Emmanuelle Roule, artiste designer
Julien Benayoun, designer
Eric Néré, délégué au Directeur-adjoint scientifique et technique à l’Inrap - Centre de recherches archéologiques de Valence

table ronde suivie d'un dîner en présence des artistes, des intervenants et des partenaires du projet

Celle que nous foulons quotidiennement

Temps d'échanges entre les 2 artistes exposants (Emmanuerlle Roule et Julien Benayou,) et Laurent Palka, spécialiste de la microbiodiversité (en visio) et Eric Néré, archéologue - céramologue.
Echange pensé autour de points de vue différents des champs du design, de l'agronomie, de la géologie et de la géographie. Modératrice : Dominique Liautard-Philippot

conférence

les intervenants et la modératrice                                                                                    le public qui commence à s'installer

Puis le dîner "autour de la terre et du feu" proposé par la cheffe Marie Vial (Marseille)

préparation diner

les convives

Partenaires : 

partenaires terres impripméeslogos cliou revol et val drôme

Du vendredi 26 mars au dimanche 24 avril 2022

Isabelle Dehay, Faire son autoportrait Pixel Painting :

L'artiste vous donne rendez-vous dimanche 15 mai, dernier jour de son exposition, et met à la disposition du public son dispositif vidéo et algorithme pour réaliser son autoportrait. Autorportrait qu'il sera possible de commander (3 formats disponibles). La séance d'atoportraits aura lieu à la Salle Lucie Aubrac, place Lucien Duc, près de La Pause.

La Presse en a parlé : Le Dauphiné (édition du 19/05/2022)

Isabelle Dehay 

Pixels Paintings

Reconstruites à partir d’informations numériques manquantes ou réorganisées sur la durée d’une séquence filmée, les Pixels Paintings d’Isabelle Dehay convoquent des images mentales. De la même façon que notre mémoire fragmente la représentation d’un souvenir, certaines parties de l’image ont disparu. Bientôt, elles seront recouvertes par un nouvel échantillon de pixels. Au delà des traces laissées par les enregistrements vidéo qu’elle réalise, l’artiste crée des algorithmes et questionne la transformation de l’information des mémoires humaines et artificielles.

expo mdt site

Vous pourrez créer votre portrait pixellisé grace au dispositif mis à disposition du public. Vous pourrez acquérir votre portrait. Il sera disponible en trois formats.
A commander auprès de la médiatrice. 

L'artiste expose en trois lieux ses oeuvres. A l'espace Ducros à Grignan, c'est une série "Portraits dpi" qu'elle présente

à voir du 5 mars au 24 avril, du mercredi au dimanche de 14h 30 à 17h 30

série portraits ducros site

et enfin, d'autres oeuvres sont exposées chez Eric Linard Editions, à la Galerie des multiples à La Garde Adhémar.

à voir du 26 mars au 24 avril du mardi au samedi de 14h à 18h

Atelier "photo pixels" adultes à l'occasion du finissage

atelier adulte finissage expo

Les visiteurs étaient i nvités à "se tirer le portrait" eux-mêmes avec le logiciel créé par Isabelle Dehay. Résultats étonnants.
Chacun est reparti avec sa photo.

Du 26 novembre au 30 janvier 2022

(fermeture annuelle du 20/12/21 au 5/1/22) 

du vendredi au dimanche de 14h à 18 h -
sur rendez-vous le lundi et le jeudi de 14h à 18h

Sophie Menuet

Lumières d'ombres

Sophie Menuet vit à La Seyne-sur-Mer . Née en 1965 à Toulon, elle obtient une licence en arts plastiques à la Faculté d’Aix-en-Provence et un diplôme des Beaux-arts de Toulon.
À partir des années 1990, elle explore et utilise le textile comme matériau de création. Cette pratique est héritée d’un savoir-faire familial. Ses premiers vêtements/sculptures sont liés au rituel, les points de couture parcourant leur surface, se transforment en dessins brodés évocateurs de cartes, de territoires, en gardien de souvenirs de personnes inconnues.
Depuis les années 2000, les sculptures ont quitté la référence corporelle. Les dimensions, les matériaux (plastique - zinc aluminium - objets, etc..) et leurs fonctions se sont multipliés pour nous donner à lire le corps sous une multitude de possibles. Distorsion, prothèses, fragments, carapaces traduisent les artifices d’un corps où l’homme et son simulacre robotique posent la question d’une société en devenir.
En parallèle de ces sculptures et reliefs muraux, elle utilise différents médiums : la photographie pour des séries d’autoportraits, synthèse des deux approches précédentes, la vidéo pour des actions/performances où elle nous fait partager son vocabulaire gestuel avec ce qu’elle nomme ses matières mémoires.
A partir de 2004, les objets portés deviennent sculptures. Les dimensions et les tailles, les matériaux sont multiples, les proportions se distendent. Le corps est représenté sous une forme fragmentaire. Le dessin est le complément naturel de sa pratique, aussi bien pour prendre ses notes et projets que pour le mettre en situation d’exposition.

Texte de Robert Franck (auteur), 2019

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Morceaux choisis de l'exposition à la Maison de la tour

morceaux choisis

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