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du 15 juin au 24 juin 2018

Bernard Pourrière - restitution d'une résidence au Cube

en coopération avec la CCADP et Angle art contemporain

Pourrière performance

“C’est à la suite d’une résidence artistique au Cube à Valaurie, que se met en place un travail sonore et chorégraphique autour du projet “les 3 huit”.

Chaque résidence donne lieu à une proposition artistique qui tient compte des spécificités du territoire. Le potentiel très riche qui entoure Valaurie au niveau des entreprises diverses m’a donné la possibilité de créer des partenariats avec plusieurs d’entre elles, dans l’idée d’échanges et de collaborations.

C’est autour des gestes du travail, et des connivences entre l’homme et la machine que se développe le projet autour de la performance “les 3 huit”. Observer ce monde dans sa routine quotidienne, pour en tirer une matière gestuelle et sonore, pour en tirer quelque chose qui soit créatif, qui devienne autre chose, qui suggère un autre imaginaire, un autre regard sur ces lieux de vie et sur nous-mêmes. Le quotidien devient un champ d’expérience et d’enrichissement, qui peut être utilisé comme base de travail pour le transformer, le bousculer.

Après avoir archivé un certain nombre de sons et de gestes qui se répètent au fil des jours dans ces espaces de travail, il s’agit de redécouvrir ces instants pour en faire autre chose, en proposer d’autres espaces-temps, de nouvelles façons de se mouvoir dans l’espace. Ce projet demande d’être à l’écoute de ces lieux parcourus en relation avec le monde du travail, des gestes des ouvriers, du contexte visuel et sonore, de s’imprégner de l’atmosphère. C’est à partir de ces repérages sur le terrain, dans l’idée de transfigurer le banal, de prélever dans l’instant quelque chose du réel, que se réalisent ces compositions sonores et gestuelles. L’être humain est au centre de ces performances dans cette confrontation non seulement au monde du travail, mais aussi à celui de la robotisation qui met en perspective un avenir incertain. Suite à ces réflexions deux performances, deux vidéos, et des partitions graphiques ont été créées autour des gestes et des sons à l’usine.”

texte de Bernard Pourrière

Pas de vernissage à l'occasion de cette exposition-restitution de la résidence faite en coopération avec la CCADP et Angle art contemporain, mais deux performances "'en finissage" le samedi 23 juin.

Performances :

Bruits et Langages : performance avec Colette Colomb musicienne (les sons de l’usine), samedi 23 juin à 18h30 à la Maison de la tour - Valaurie

Les 3 huit : perfomance chorégraphique et sonore avec Colette Colomb, musicienne, et Astrid Giorgetta, chorégraphe, et danseuse, samedi 23 juin à 21h au Val des Nymphes -La Garde Adhémar

Attention, nombre de places limité au Val des Nymphes, Réservation obligatoire au 04 75 96 01 29 ou par email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
pour en savoir plus 

Du 20 avril au 27 mai 2018

Michel Barjol : Autour du paysage

Invitées Susanna Lehtinen et Silvia Cabezas Pizarro

Barjol dessinMichel Barjol, Autour du paysage

Michel Barjol vit et travaille à Malaucène dans le Vaucluse. Que ce soit sur bois ou sur papier, il s’exprime par le dessin. Fils de paysan, très tôt le paysage le questionne ; plus tard il en fera son thème favori. Peindre le paysage "à la relevée" comme un oiseau qui s'affranchit des pesanteurs chtoniennes...

Le reconstruire pour l'exprimer dans un nouveau langage symbolique... Le transcrire en une algèbre picturale faite de points, de lignes, de fractales... Le décliner sur des chevrons où le relief de l'oeuvre transfigure le relief topographique... Y pratiquer des ouvertures pour favoriser la circulation des regards... Inaugurer des cheminements dépaysants pour redécouvrir autrement les chemins des paysans.

Alain Cambier

 

Invitées : Susanna Lehtinen & Silvia Cabezas Pizarro, collectif d’artistes finno-espagnol depuis 2013.
Leurres

Barjol Leurre

Susanna Lehtinen mène un questionnement sur la lumière, une recherche d’un certain absolu, d’une sacralité face au réel en utilisant plusieurs pratiques artistiques : installations, oeuvres photographiques, picturales, sculpturales ou numériques.

Silvia Cabezas-Pizarro s’interroge sur la mémoire, le corps et la dimension éphémère, à travers ses installations et dessins. Elles présentent « Leurres », nouvelle installation toujours avec leur matériau de prédilection, le verre. Ces délicates sculptures en verre sont suspendues dans l’espace où le miroir d’eau vient amplifier les effets du volume et de la lumière. Cette installation est un éloge de l’apparence et de l’illusion qui révèle une double réalité : la fascination des objets précieux mélangée à l'appréhension des pièges que peuvent constituer leur propre attirance.

Du mercredi au dimanche, 14h00-18h00 - Vernissage le Vendredi 20 avril 2018 à 18h30

Du 24 novembre 2017 au 21 janvier 2018 (fermeture du samedi 23 décembre inclus au mardi 9 janvier 2018 inclus)

Benjamin Just : un arbre peut-il cacher la forêt ?

Vernissage le Vendredi 24 novembre 2017 à 18h30

Benjamin JUST 1Exposition en Résonance avec la Biennale d’art contemporain de Lyon et la MAPRAA.
Porté par l’idée de « mondes flottants » (thème de la biennale), Benjamin Just présente sous le titre « un arbre peut-il cacher la forêt ? » un ensemble de travaux (microcosmes) qui, mis en commun forment une forêt d’un nouveau genre.
La métaphore du titre, outre son effet évocateur du travail du bois, reflète plus largement un processus de création. En effet,  l’artiste utilise l’art du détail (zoom) pour définir un cas d’étude. Comme un ethnographe, il se plonge sur une façon de faire, un geste, une tradition sylvicole… et tente d’en extraire l’essence afin de reproduire dans une œuvre l’univers de ce détail. Celui-ci repris, enrichi et agrandi devient sculpture, vidéo, photo, son, installation…    
benjamin just2Dans sa pratique, chaque sculpture ou ensemble de sculptures figure une étude de la nature.
Dans cette exposition, la relation à la matière se révèle une des constituantes primordiales. Grace à sa formation en ébénisterie, Benjamin Just privilégie ce contact à la matière. Parfois synonyme d’un geste fort comme de la taille à la tronçonneuse, parfois beaucoup plus subtil comme une fine dorure à la feuille d’or sur une pièce de bois ; l’artiste utilise ces différents registres pour souligner la poésie d’un moment.
Au moyen de divers médiums, l’artiste nous propose d’autres approches visuelles ; de la contemplation aux « jeux », en passant par la sculpture qui gêne et celle qui interroge.
Dans son geste comme dans sa conception, la technologie est souvent partie prenante (scan 3D, fraisage numérique, programmation arduino, impression 3D…) mais là où elle semble prendre le pas, il y a toujours un élément qui a trait avec le savoir-faire du métier d’ébéniste.

Du mercredi au dimanche, 14h00-18h00 - Vernissage le Vendredi 24 novembre 2017 à 18h30

Détours les 13, 14 et 15 octobre 2017

Detours parcours à la découverte d'oeuvres numériques

à l'initiative de la Coopération des Centres d'Art du Sud Drôme

Detour affiche car 2

A découvrir ici : http://www.detournumerique.com/
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