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    Le Cube est une résidence de création, de production, de diffusion et de médiation, ouverte à toutes les pratiques artistiques et culturelles, adossée à des espaces de présentation et d’exposition.

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Du 29 janvier au 20 mars 2016

Sylvie Garraud

Structures, etc

A l’occasion de l’entrée en résidence de création

Sylvie GarraudDepuis de nombreuses années, Sylvie Garraud partage sa vie entre création et pédagogie. Des liens organiques se sont construits entre ces deux activités et une forme d'engagement s'est consolidée au fils des années vis à vis de ce travail de transmission auprès du public.

A l'occasion d'un échange avec un collectif d'artistes elle a été amenée à explorer les possibilités d'un objet articulé et évolutif qui a ensuite généré de nouvelles formes. Celles-ci s'adressent parfois plus à un public d'enfants qu’à un public d'adultes, avec toujours en arrière-plan un esprit de jeu et une référence à l'histoire de la peinture abstraite. Les premiers objets ("boîtes") contenaient potentiellement le principe du livre, de l'architecture, de la sculpture, du jeu de construction. Aujourd'hui, ils témoignent d'un chantier permanent. Ils sont des invitations à interpréter et à "trans-former": passer d'une forme à l'autre et passer d'un sens  l'autre de la même forme par la manipulation de l'utilisateur mais aussi à travers les modifications de la taille, du matériau, de la découpe.."

L'exposition d'entrée en résidence présente un ensemble de travaux permettant de situer différents aspects du parcours de Sylvie Garraud depuis plusieurs années."

http://sylvie-garraud.rhcloud.com/

Du 29 janvier au 20 mars 2016 - du mercredi au dimanche de 14h à 18h
Vernissage le vendredi 5 février 2016 à 18h30

du 4 décembre 2015 au 10 janvier 2016

Myette Fauchère photographe

888 : 8 artistes / 8 lieux / 8 départements

En partenariat avec la MAPRA, FOCUS Biennale de Lyon 2015

Myette Fauchere piedsMyette Fauchère expose à Valaurie des photographies appartenant à trois séries : « Portraits caméléon », « Pieds » et « Zoo ». Depuis 2003 elle s’intéresse aux textiles africains, et aux rituels qui les accompagnent ; elle a photographié en noir et blanc au Mali des tissus traditionnels destinés à l’élaboration, par des tailleurs, de costumes de fête. Le succès rencontré par ces photos l’a incitée à poursuivre ; attentive à l’uniformité de tissu porté par une même famille, elle a fait poser des groupes familiaux tous vêtus ainsi devant un fond du même motif, cette fois en couleur. C’est ainsi que sont nés les « portraits caméléons », figuration d’un corps collectif hybride : les personnes photographiées se fondent dans l’accumulation de motifs d’une grande force graphique. Le spectateur doit déployer une activité visuelle entre fascination, comparaison, repérage. A la Biennale de Dak’Art elle a travaillé avec de jeunes créatrices qui composent les motifs et tissent sur place (alors que certains tissus africains sont fabriqués en Europe !).
Myette Fauchere Portraits cameleonsAu festival des Textiles extraordinaires de Clermont-Ferrand, elle a fait une série sur les tissus à carreaux.
Myette Fauchère se reconnaît une parenté avec Annette Messager, Armand, Boltanski. Elle a fait usage d’autres matériaux, comme dans la série « Pieds » où l’accumulation de chaussures constitue une sorte de portrait de société. Elle évolue vers des sujets en volume : projets de compositions avec des gants de travail, des peluches. Toujours dans une accumulation où se dessine un portrait. Evelyne Rogniat

du 4 décembre 2015 au 10 janvier 2016 - du mercredi au dimanche de 14h à 18h. Fermeture du 20 décembre 2015 au 5 janvier 2016 inclus
Visite possible sur rendez-vous

du 30 octobre au 29 novembre 2015

Stéphanie Lehu

Paysage Refuge

Restitution d’une résidence au Cube

Stephanie Lehu-1L’exposition entremêle les différents temps de la résidence au Cube. Les images archaïques du sténopé côtoient les pixels des photographies numériques et se mélangent aux instantanés du Polaroïd. L’ensemble des photographies explore des notions contraires : noir/blanc, positif/négatif, proche/lointain, plein/vide, intérieur/extérieur, terre/ciel...

Ici, le spectateur n’est pas face à l’œuvre, mais plongé à l’intérieur de l’œuvre elle-même. Il est invité à marcher entre les paysages suspendus. Entre ces lieux refuges, animés du souffle de ceux qui les ont capturés. D’ailleurs, « eux », on les retrouve un peu plus loin. Mais peut-être ne se reconnaîtront-ils pas ? Les visages éthérés, aux contours indéfinis semblent fuser dans les fibres de l’intissé. Ce matériau, flottant, vaporeux, aérien, s’oppose aux lourdes plaques de béton disposées à même le sol. Les motifs végétaux - branches ou racines ? qui s’étendent sur chaque plaque, rappellent tout comme les visages, des taches d’encre noire. Ces masses sombres déployées sur fond blanc révèlent le vide.

Stephanie Lehu-2Le vide, le plein, il en est question dans les paysages parcourus, tantôt en positif, tantôt en négatif. Ces images imparfaites, rappelant une intériorité onirique, ne laissent subsister que les traits essentiels. Cette dimension onirique, on la retrouve dans la constellation des Polaroïds aux couleurs délavées, presque étouffées. Là encore, les imperfections sont visibles. Mais ces images ne sont-elles pas plus proches de ce que j’ai ressenti ? Etre dans le paysage, c’est en faire l’expérience. Etre ébloui, sentir le vent caresser sa peau, être dissipé par un son inattendu. C’est aussi en capter les impressions changeantes et les frémissements. Car le paysage est vivant, toujours en mouvement. Et ces vibrations imperceptibles, la photographie ne peut jamais pleinement les saisir.

Du 30 octobre au 29 novembre 2015 - du mercredi au dimanche de 14h à 18h
Vernissage le 30 octobre à 18h30

 

les 17 et 18 octobre 2015 dans le cadre de l’événement DÉTOURS

Le collectif Dardex

REFONTE – Installation

Dardex harponREFONTE est une série de pointes de lances et d’armes rudimentaires, de différentes tailles et alliages, réalisées à partir de différents matériaux récupérés sur des déchets d’équipements électriques et électroniques. Les déchets métalliques sont ensuite fondus puis coulés dans des moules, reprenant ainsi les techniques millénaires de la fabrication d’armes primitives, composées d’alliages de cuivre, d’aluminium et d’or.
Entre archéologie contemporaine et geste anachronique, ces armes proposent une refonte de nos sociétés industrielles, une évocation post-futuriste nous rappelant la fragilité de nos systèmes et l’implication guerrière de l’Humanité.
Le collectif Dardex, a été fondé en 2003 par Quentin Destieu et Sylvain Huguet alors étudiants à l’école supérieure d’art d’Aix-en-Provence.
Explorant les média actuels, ils développent en collaboration avec différents artistes et chercheurs des installations et des performances multimédia, utilisant l’interactivité et le jeu. Leur stratégie artistique est axée sur des idées d’appropriation et de détournement de matériaux existants. Leur travail questionne un monde saturé par les médias et la technologie, explorant les frontières et les relations entre technologie et culture populaire.

Pour en savoir plus : lien vers le site Détour numérique
Les 17 et 18 octobre 2015 dans le cadre de l’événement DÉTOUR
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